En finale, les Suédoises remportent leur premier titre européen en s’imposant facilement quatre à un à domicile, maillot lyon puis trois à zéro au Danemark. En finale, elles sont opposées aux Allemandes du FFC Francfort, celle-ci s’étant qualifiées en éliminant les Italiennes de l’ASDCF Bardolino Vérone en demi-finale. En 2018-2019 au Stade de Ferencváros, l’Olympique lyonnais se retrouve de nouveau en finale, cette fois face au FC Barcelone, après avoir éliminé Chelsea en demi-finales. Lors de la saison 2007-2008, les tenantes du titre, l’Arsenal LFC, sont éliminées en quart de finale par les Françaises de l’Olympique lyonnais sur des buts de Katia, Camille Abily et Elodie Thomis. La finale aller est une formalité pour le club allemand qui s’impose six buts à zéro avec un triplé d’Inka Grings, un doublé de Femke Maes et un but de Fatmire Bajramaj avant de faire un match nul un partout au retour devant 28 112 spectateurs qui devient un record dans la compétition. Le premier match de cette compétition, contre le FC Barcelone se solde par un match nul un but partout qui montre une équipe lyonnaise de haut niveau, pas loin de celui de l’équipe catalane.
Un seul but sera inscrit en seconde période, Asisat Oshoala réduisant le score en fin de match. La finale retour en Allemagne devant 27 640 spectateurs tourne à l’avantage des Allemandes sur le score de trois buts à deux qui remportent le troisième titre de leur histoire avec dans ses rangs Conny Pohlers et Petra Wimbersky. Le premier match se joue le 21 février dans le Stadio olimpico devant plus de 75 000 spectateurs. Le FFC Francfort remporte le match aller quatre à zéro à Potsdam puis confirme à domicile en s’imposant trois buts à deux devant 13 200 spectateurs. Les deux représentants allemands, le FFC Francfort et le FFC Turbine Potsdam, sont éliminés tous deux en quart de finale respectivement par les Norvégiennes du Kolbotn Fotball et les Danoises du Brøndby IF. La finale oppose de nouveau un club suédois, le Djurgården/Älvsjö, à un club allemand, le FFC Turbine Potsdam, qui connaissent tous deux leur première finale européenne. L’édition 2008-2009 est remportée par un nouveau club allemand, le FCR Duisbourg.
Elles sont éliminées en demi-finale de la Coupe UEFA par les futurs vainqueurs de la compétition, le FCR Duisbourg (4-2 sur l’ensemble des deux rencontres). 53 clubs prennent part à la compétition et les nations ayant un bon coefficient UEFA ont le droit d’aligner deux clubs (le champion et le vice-champion). La finale oppose les deux clubs ayant déjà inscrit leurs noms au palmarès, et l’Umeå IK confirme sa supériorité sur le continent européen en disposant du FFC Francfort trois buts à zéro en Suède et cinq buts à zéro en Allemagne, grâce notamment à Marta, Frida Östberg et Anna Sjöström. Cependant, ces deux clubs sont éliminés en demi-finale par les Suédoises de l’Umeå IK et les Anglaises de l’Arsenal LFC. Ces dernières sont opposées en demi-finale aux Suédoises de l’Umeå IK qui se qualifient pour la finale après deux matchs nuls à la faveur d’un but marqué à l’extérieur (1-1 à Lyon, 0-0 à Umeå).
La saison 2015-2016 voit l’Olympique lyonnais prendre sa revanche sur le VfL Wolfsbourg (1-1, 4-3 aux tirs au but), à Reggio d’Émilie. La saison 2012-2013 marque un changement de domination lorsque l’Olympique lyonnais, double tenant du titre et finaliste pour la quatrième fois consécutive, s’incline, le 23 mai 2013 à Londres, face au VfL Wolfsbourg, sur le score de 1-0 et un pénalty de Martina Müller à la 73e minute. Les deux équipes finalistes de l’édition précédente se retrouvent une nouvelle fois en finale lors de l’édition 2010-2011 à Londres, le 26 mai 2011, et voit les Lyonnaises l’emporter sur le score de deux buts à zéro. Les Suédoises, bien que disputant leur quatrième finale de leur histoire face à des Anglaises qui atteignent pour la première fois ce stade de la compétition, sont surprises à domicile un but à zéro au match aller par Alex Scott. 14 novembre 2021 – Olympique Lyonnais 6-1 Paris Saint-Germain : L’OL et le PSG sont à égalité en tête du championnat avec 7 victoires et 7 matches, et Paris n’a encaissé aucun but depuis le début de la saison. La saison en 2003-2004 confirme la tendance des clubs allemands et scandinaves à dominer la compétition.
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